« La ménopause c’est un peu comme les verres progressifs »

Elisabeth, 48 ans, vit sa périménopause depuis un an environ avec philosophie.
Si on accepte qu’on vieillit, on s’y fait plus vite.
Je ne suis pas pour la surmédicalisation de tout. Parfois c’est la nature et il faut vivre avec. Je me dis que la ménopause c’est un peu comme les verres progressifs, si on accepte qu’on vieillit, on s’y fait plus vite. Après bien sûr, si mes symptômes empirent trop j’irai voir mon généraliste. Mais tant que ça va, je laisse faire la nature.
Dans la vie, je pense que les choses arrivent quand elles doivent arriver. Ma périménopause a commencé il y a environ un an. Ce qui m’a mis la puce à l’oreille ce sont mes règles qui sont devenues irrégulières. Je les ai moins abondantes et moins longtemps qu’avant, mais plus souvent. En général je les sens arriver une semaine avant avec des crampes, ce qui me laisse que quelques jours de répit dans le mois.
J’ai des symptômes assez classiques : règles irrégulières, irritabilité (même si c’est moins fort qu’après mon accouchement, on a moins de grosses disputes avec mon homme), peau qui gratte et surtout bouffées de chaleur ! Elles partent du plexus puis se répandent sur tout le haut du corps.
Mon remède : les MISTER FREEZE !
Rien de plus efficace, ils refroidissent de l’intérieur. Depuis un an je les mange par quatre alors que je n’aimais pas spécialement ça avant. Je veille à garder un bon stock à la maison, quitte à cacher à mon fils les derniers. C’est un peu égoïste mais vital ! Si je suis en manque, je suis prête à faire des kilomètres pour en trouver ! L’éventail n’est pas aussi efficace pour moi.
Ah oui ! Et je sens mes ovaires maintenant. Deux petits points crispés dans le bas-ventre. Je les sens bien ! Mais c’est peut-être juste parce que je suis plus à l’écoute de mon corps…
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